L’article 4 du Décret n° 2016-882 du 29 juin 2016 stipule que les avocat peuvent commercer des biens ou services connexes à la profession si l’activité reste accessoire et que ces biens et services sont destinés à des clients ou à des membres de la profession, et sous réserve de déclaration de cette activité au conseil de l’ordre.
La notice du décret précises concrètement que l’édition juridique, la formation professionnelles et la mise à disposition de moyens matériels ou de locaux bénéficie au avocats.
Un rapport à ce sujet précise qu’il est possible de concevoir “la commercialisation, sous forme de licence, d’outils numériques ou applications mobiles développés par un avocat.”
Ceci peut ouvrir une opportunité très intéressante pour une société comme Jalis.
Il pourrait s’agir de créer un partenariat avec un cabinet d’avocat pour commercialiser une application d’autoformation à l’intention des avocats par exemple. Une telle stratégie permettrait, au même titre que Jalis Académie, de prospecter de manière indirecte, tout en créant de la valeur, et en élargissant le réseau professionnel.