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Les principales caractéristiques du "marché avocats"
Les principales caractéristiques du "marché avocats"
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En 2018, 66 958 avocats ont été recensés sur l’ensemble du territoire Français. L’effectif de la profession progresse chaque année d’environ 4 %. Aujourd’hui, 40 % des avocats exercent à Paris, les autres se répartissent entre les 180 barreaux en région, avec une concentration particulièrement forte en Île-de-France, PACA et Rhône-Alpes.
Le barreau de Marseille représente 2 300 avocats. C’est un barreau très dynamique composé de plus de deux mille membres. C'est aussi un barreau très jeune puisque la moyenne d'âge est inférieure à 40 ans. Enfin, plus de 50 % des avocats au barreau de Marseille sont des femmes.
La Cour d’Appel d’Aix en Provence quant à elle, représente 797 avocats inscrits.
En 2015, le revenu annuel moyen de la profession était de 77 004€. Un avocat gagne entre 1909 € bruts et 13 300 € bruts par mois en France, soit un salaire moyen de 7 605 € bruts par mois, avant paiement des charges et impôts qui représentent environ 60% des revenus des professions libérales.
Cela implique que Jalis doit adapter son offre et ses tarifs à cette cible, ou bien réussir à identifier les avocats pertinents, qui font suffisamment de chiffre, comme le Cabinet Touboul.
Le avocats ont tendance à se regrouper
En 2016, on comptait 27000 cabinets d’avocat en France, dont près de 11000 employeurs.
Depuis le début des années 2000, les avocats se regroupent de plus en plus (+ 68,2 % de groupements d’exercice), particulièrement sous le statut de la « Société d’Exercice Libéral » (SEL), qui représente aujourd’hui plus de la moitié des statuts des entreprises d’avocats (loin devant les Sociétés Civiles Professionnelles, SCP).
Toutefois, il n’existe pas de cabinet type, qui correspondrait à une moyenne de toutes les tendances établies. Nombre des salariés, activité, clientèle, organisation, localisation géographique sont autant d’informations qui révèlent une très grande disparité de situations.
En 40 ans, le nombre d’avocats a été multiplié par 7,5. Une minorité d’entre eux exercent en tant que salariés.
Plus d’un tiers exercent à titre individuel (36%). 59 % se partagent de manière égale entre ceux qui exercent en qualité d’associés et ceux qui exercent en qualité de collaborateur. Les salariés représentent 5%.
Ce graphique nous montre quelles sont les spécialisations les plus représentées et celles qui suscitent le plus d’intérêt actuellement. On constate que le Droit du travail, le Droit fiscal et douanier, ainsi que le Droit des sociétés sont les domaines les plus attractifs. C’est donc dans ces secteurs qu’il y’a le plus de demande et de concurrence. Cependant, le domaine juridique reste un secteur sujet à beaucoup de changements. Les avocats en droit du travail sont en train de perdre leur “casquette contentieux”. Ils vont donc être obligé de se concentrer dans une perspective du conseil et vont avoir besoin d’énormément de visibilité. Ce qui a été confirmé par l’un de nos entretien de recherche mené auprès du Cabinet Capstan. Il s’avère que plusieurs de leurs clients cette année les ont trouvé via une recherches web. Ce qui confirme l’importance de la publicité sur internet.
Le barreau de Marseille représente 2 300 avocats. C’est un barreau très dynamique composé de plus de deux mille membres. C'est aussi un barreau très jeune puisque la moyenne d'âge est inférieure à 40 ans. Enfin, plus de 50 % des avocats au barreau de Marseille sont des femmes.
La Cour d’Appel d’Aix en Provence quant à elle, représente 797 avocats inscrits.
En 2015, le revenu annuel moyen de la profession était de 77 004€. Un avocat gagne entre 1909 € bruts et 13 300 € bruts par mois en France, soit un salaire moyen de 7 605 € bruts par mois, avant paiement des charges et impôts qui représentent environ 60% des revenus des professions libérales.
Cela implique que Jalis doit adapter son offre et ses tarifs à cette cible, ou bien réussir à identifier les avocats pertinents, qui font suffisamment de chiffre, comme le Cabinet Touboul.
Le avocats ont tendance à se regrouper
En 2016, on comptait 27000 cabinets d’avocat en France, dont près de 11000 employeurs.
Depuis le début des années 2000, les avocats se regroupent de plus en plus (+ 68,2 % de groupements d’exercice), particulièrement sous le statut de la « Société d’Exercice Libéral » (SEL), qui représente aujourd’hui plus de la moitié des statuts des entreprises d’avocats (loin devant les Sociétés Civiles Professionnelles, SCP).
Toutefois, il n’existe pas de cabinet type, qui correspondrait à une moyenne de toutes les tendances établies. Nombre des salariés, activité, clientèle, organisation, localisation géographique sont autant d’informations qui révèlent une très grande disparité de situations.
En 40 ans, le nombre d’avocats a été multiplié par 7,5. Une minorité d’entre eux exercent en tant que salariés.
Plus d’un tiers exercent à titre individuel (36%). 59 % se partagent de manière égale entre ceux qui exercent en qualité d’associés et ceux qui exercent en qualité de collaborateur. Les salariés représentent 5%.
Ce graphique nous montre quelles sont les spécialisations les plus représentées et celles qui suscitent le plus d’intérêt actuellement. On constate que le Droit du travail, le Droit fiscal et douanier, ainsi que le Droit des sociétés sont les domaines les plus attractifs. C’est donc dans ces secteurs qu’il y’a le plus de demande et de concurrence. Cependant, le domaine juridique reste un secteur sujet à beaucoup de changements. Les avocats en droit du travail sont en train de perdre leur “casquette contentieux”. Ils vont donc être obligé de se concentrer dans une perspective du conseil et vont avoir besoin d’énormément de visibilité. Ce qui a été confirmé par l’un de nos entretien de recherche mené auprès du Cabinet Capstan. Il s’avère que plusieurs de leurs clients cette année les ont trouvé via une recherches web. Ce qui confirme l’importance de la publicité sur internet.